La production de l’hydrogène vert dans la région de Dakhla et son utilisation pour le dessalement de l’eau de mer, permettront au Maroc d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. C’est ce que révèle une étude menée par des chercheurs marocains.
Plusieurs groupes marocains figurent sur la liste des consortiums d’entreprises présélectionnées pour participer au programme de production par concession de la première unité de 125 Mégawatts de la centrale de Ouarzazate.
On retrouve ainsi la filiale du groupe ONA, Nareva Holding, aux côtés de International Power, Marubeni Corporation et Siemens Project Ventures GmbH. Delta Holding roule quant à elle avec Energy Consulting Group et Socoin.
Cegelec Maroc fait partie du consortium composé du suisse IWB et des français Solar Euromed et Entrepose Contracting.
Ynna Holding accompagne les français Litwin et SEEM, et l’allemand M+W Group. Auto Hall s’investit lui avec le japonais Mitsubishi Corporation et Veolia Environnement Maroc avec l’Américain SolarReserve.
Enfin, on retrouve Alstom Maroc dans un consortium formé d’une dizaine d’entreprises dont Alstom Power et BritghSource.
Pour rappel, le projet de Ouarzazate concerne la réalisation de plusieurs centrales électriques d’une capacité de 500 Mégawatts à fin 2015.
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