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Des centaines de sous-traitants ont été payés par Facebook pour transcrire des extraits sonores de certains usagers. Le réseau a maintes fois réfuté ces allégations mais a fini par faire son mea-culpa.
Facebook est mis à nu. L’Agence Bloomberg a révélé que le réseau social a payé des centaines de sous-traitants pour transcrire des extraits sonores de conversations de certains usagers. Cette révélation, le réseau social a pris du temps à l’admettre.
Dans un communiqué transmis à l’Agence financière, Facebook fait son mea-culpa avant de déclarer avoir mis fin à cette pratique. « Tout comme Apple ou Google, nous avons gelé la pratique de faire écouter les enregistrements sonores par des humains, la semaine dernière », a-t-il tenté de rassurer.
Aussi Facebook a-t-il expliqué avoir eu l’autorisation de procéder à la transcription de leur conversation par des usagers de son application, Messenger. Le travail des sous-traitants consistait à vérifier si l’intelligence artificielle du réseau interprétait correctement les messages qui avaient été rendus anonymes.
Les employés commis à cette tâche, eux, ont nourri des inquiétudes quant aux implications éthiques de leur travail, selon Bloomberg. Simple raison : ils n’ont pas été informés de l’origine des enregistrements des conversations ni de l’usage qu’en fait Facebook.
Par ailleurs, Facebook a fait les frais de cette pratique qu’il n’avait jamais voulu reconnaître. Le réseau social vient juste de payer 5 milliards de dollars aux autorités fédérales américaines, pour un mauvais usage des données privées de ses usagers, indique la même source.
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