Deux d’entre elles ont été condamnées à cinq ans de prison ferme alors qu’une troisième a écopé d’une peine de quatre ans.
Elles étaient poursuivies pour « constitution d’une bande en vue de préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l’ordre public, incitation d’autrui à commettre des actes terroristes, collecte et utilisation d’argent à des fins terroristes, apologie d’actes terroristes et d’une organisation terroriste », rapporte la Map.
L’affaire remonte à octobre 2016 quand le Bureau central d’investigation judiciaire (BCIJ) avait démantelé une cellule terroriste composée de dix femmes, dont plusieurs mineures, qui s’activaient dans plusieurs villes et qui avaient l’intention de commettre des attentats-suicides.