Au Maroc, la mère divorcée, qui obtient généralement la garde de l’enfant, n’en a pas la tutelle qui revient de droit au père. Les défenseurs des droits des femmes appellent à une réforme du Code de la famille pour corriger ce qu’ils qualifient...
Le Mouvement Alternatif pour les Libertés Individuelles plus connu sous le nom Mali, relance le débat à l’arrivée du ramadan 2010 sur la liberté de ne pas jeûner lors de cette période.
Le mouvement, crée par la journaliste Zineb El Rhazzaoui, avait déjà tenté de sensibiliser les Marocains à sa cause l’année dernière en organisant un goûter en plein ramadan. Celui-ci avait été empêché par les autorités.
Cette année, le Mali ne semble pas prévoir d’action similaire, ou du moins n’en a pas encore fait l’annonce, mais veut relancer le débat "en faveur de la liberté de conscience et de religion" (Le Soir échos).
Au Maroc, il est strictement interdit de rompre le jeune durant la journée en public. L’article 222 du code pénal marocain prévoit des peines allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement pour tout musulman mangeant publiquement pendant le ramadan.
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