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C’est la peine maximale prévue, a indiqué la représentante du parquet fédéral Kathleen Grosjean, estimant qu’attaquer « des forces de l’ordre et la Belgique en général, c’est voulu et accepté par tous les trois. Ils sont entraînés, ce sont des combattants, ils baignent là dedans depuis des semaines ».
Le 15 mars 2016, des policiers français et belges avaient été surpris par des tirs venant d’un appartenant dans lequel ils devaient effectuer une perquisition de routine, blessant trois agents. « C’est une véritable scène de guerre à laquelle les policiers ont été confrontés. (...) C’est un miracle qu’il n’y ait pas eu de morts », a ajouté la magistrate.
Selon des sources judiciaires interrogées par l’AFP, la peine auparavant évoquée était de 40 ans de prison.