Arrêtés grâce à une collaboration entre la Police judiciaire de Tétouan et la Direction générale de la surveillance du Territoire (DGST), ces individus sont maintenant face à des accusations graves, notamment de falsification de documents officiels, d’émigration clandestine, et de traite d’êtres humains.
L’affaire, rapportée par Al Akhbar, a pris une grosse ampleur suite à une enquête de la Police judiciaire, supervisée par le parquet compétent. L’investigation a permis de mettre à jour le modus operandi d’un réseau criminel, notamment en ce qui concerne les faux documents et l’immigration clandestine.
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En parallèle, les autorités locales intensifient leurs efforts pour sécuriser la région. Les services de sécurité des préfectures du nord se mobilisent pour traquer les bandes criminelles actives sur les réseaux sociaux, recrutant des candidats à l’émigration clandestine.
Les festivités du Nouvel An sont un moment propice pour les migrants de forcer le passage de Sebta. Selon des sources proches du dossier, un dispositif de surveillance renforcé est mis en place autour de la ville. Les services de la Gendarmerie royale, de la Police, des Forces auxiliaires et de la DGST collaborent étroitement pour anticiper et déjouer toute tentative d’intrusion ou d’assaut.